Photo A. Journé |
Lisière, cette installation in situ, 200 mètres de fils de sequin, sur le mur.
Le fil déploie une géographie du sensible.
Theatrum orbis terrarium, « théâtre du monde », le premier atlas moderne
dessiné au 16ème siècle, atlas, « porteur » étymologie, pilier du
ciel condamné à porter le monde sur le dos. Vision aplatie du monde,
vision globale.
Lumière, ligne dessin Penser les territoires familiers ou imaginaires.
Photo S. Kerneur |
Expérience spatio temporelle, une ligne frontière ? Comment peut-on mettre en lumière la frontière,
est-elle utile ? Oui, à condition qu’elle soit une interface, entre un
dedans et un dehors ? Cette frontière pose la question de l’hospitalité,
de l’hôte, ce mot qui signifie, celui qui accueille et celui qui est
accueilli.
voies sans issues,
voyage imaginaire,
Terre émergée,
le long d’un affluent,
ou à l’embouchure de la Ria,
de l’estuaire de Nantes, dans les zones enclavées,
en érosion,
dans l’anse,
le lagon,
le cordon littoral,
le récif corallien,
Penser aux habitants transfontaliers,
les zones franches et
les pays en transition,
la péninsule,
la lagune, le limon, la vasière..
Ou est le dedans et le dehors ?
Où est la terre ? Où est la mer ?
Ne plus avoir les pieds sur terre,
Déambulation, perte de repères, lâcher prise, Non-lieux, explorations.